samedi 30 mai 2015
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dimanche 17 mai 2015
vendredi 15 mai 2015
mardi 12 mai 2015
l'ineptie fordiste
http://www.contrepoints.org/2014/12/22/191960-lineptie-fordiste
Lorsqu’il est question du niveau des salaires, la gauche fait souvent référence au fordisme. Le mythe veut qu’Henry Ford ait délibérément haussé les salaires de ses ouvriers pour que ceux-ci puissent avoir les moyens de s’acheter un modèle T, ce qui moussa la demande du produit et assura le succès de Ford. Comme l’explique Hadrien Gournay ici, cette vision du fordisme est une ineptie.
La réalité est que les hausses de salaires octroyées par Ford furent justifiées par une hausse fulgurante de la productivité résultant de l’implantion du taylorisme dans ses usines. En fait, cette augmentation des salaires avait pour but principal de lutter contre le taux de roulement devenu de plus en plus élevé avec l’apparition du travail à la chaîne, qui rendait le travail monotone. Ford a donc utilisé une part des gains de productivité découlant du taylorisme pour inciter ses employés à ne pas démissionner en raison de tâches répétitives et moins intéressantes. L’économie des années 1920s était en forte croissance, donc les opportunités d’emplois alternatifs ne manquaient pas pour ces ouvriers. Ford devait donc mieux rémunérer ses employés pour les garder.
L’autre part des gains de productivité a servi à diminuer le coût de production (et le prix) du modèle T à un niveau où de plus en plus de gens – et pas seulement les employés de Ford – avaient les moyens de se le procurer. C’est cela qui réellement a moussé la demande pour le produit. Avec les volumes accrus viennent les économies d’échelle et la hausse substantielle des profits…c’est ça la vraie recette du fordisme.
lundi 11 mai 2015
Cumulative advantage in a social world
This setup let us test the possibility of prediction in two very direct ways. First, if people know what they like regardless of what they think other people like, the most successful songs should draw about the same amount of the total market share in both the independent and social-influence conditions — that is, hits shouldn’t be any bigger just because the people downloading them know what other people downloaded. And second, the very same songs — the “best” ones — should become hits in all social-influence worlds.
What we found, however, was exactly the opposite. In all the social-influence worlds, the most popular songs were much more popular (and the least popular songs were less popular) than in the independent condition. At the same time, however, the particular songs that became hits were different in different worlds, just as cumulative-advantage theory would predict. Introducing social influence into human decision making, in other words, didn’t just make the hits bigger; it also made them more unpredictable.
vendredi 8 mai 2015
jeudi 7 mai 2015
mardi 5 mai 2015
lundi 4 mai 2015
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